Harvey Wainwright - L'échec ? Jamais vu.

- as you are -

› minimum 10 infos concernant les habitudes et la personnalité de ton personnage :

• Un des murs de mon bureau est recouvert de posters Marvel. C’est en se prenant pour un héros qu’on en devient un.
  
• Le matin, je suis frai et efficace même sans café. Généralement quand je passe l’heure du café du matin, je préfère passer au bourbon plutôt qu’à la boisson chaude… C’est bien meilleur !
  
• Mon estomac n’a pas de fond quand on parle de tapas. Cette connerie est beaucoup trop délicieuse !
  
• Je sors assez facilement après le boulot. Après tout, je ne suis que le cheif executive. C’est mes subalternes qui n’ont pas de vie sociale, pas moi.
  
• Les talons c’est primordial sur une femme…
  
• Règle n°1 Le baseball, ça c’est la clé d’une bonne sortie. Bon ça peut durer des heures, mais c’est vraiment, vraiment important de suivre les Yankees.
  
• Règle n°2 toujours sortir impeccable. Je ne connais pas le ‘à peu près’. C’est parfait, ou rien du tout.
  
• Règle n°3 en repas d’affaire, j’emmène mes invités dans un restaurant italien. C’est très rare quand je vais chez les français.
  
• Règle n°4 jamais plus de 20 minutes au téléphone avec les clients ou les fournisseurs. Sinon, c’est que le sujet n’était pas assez ciblé, et qu’un rendez-vous en face to face est plus approprié.
  
• Règle n°5 toujours surestimer les femmes dans les relations professionnelles. Elles sont redoutables...
  
  

› minimum 10 infos concernant l'histoire de ton personnage :
1/ Originaire de New-York 2/ Pas très studieux, mais mes capacités professionnelles ont fait leurs preuves d’elles même sur le terrain 3/ J’ai toujours été riche, et je le serai toujours 4/ CEO et business man de Wainwirght Industry, entreprise qui fabrique et vend des centrales électriques nucléaires dans le monde entier (on parle de 200 000 salariés à travers le monde) 5/ Je n’aime pas trop que des personnes sans connaissances précises sur le sujet traînent ma société en justice, alors je les suis. Mais j’ai plus de fric, alors je gagne. Facilement. 6/ Je n’ai pas beaucoup d’intérêt sentimental pour les filles qui ne sont pas des férues de business. Alors elles finissent toutes par partir.  7/ Un jour je me poserai avec l’une d’entre elle pour assurer l’héritage de ma famille (il faudra évidemment qu’on procrée un garçon) 8/ Je ne me suis pas fais que des amis avec le temps et les affaires qui tournent toujours autour d'argent 9/ J'envisage de faire des rachats d'entreprise prochainement 10/ Il faut savoir s'éclater ! C'est important pour rester sérieux durant le business.

- Beautiful Story -
C’est sur l’île prestigieuse de New-York que j’ai vu le jour. Clairement une cuillère en argent, en or, en diamant dans la bouche. L’argent coule à flot, dans mes veines et mes comptes bancaires qui sont au chaud à la Newton Bank. Je n’ai jamais manqué de rien, et ma vie se déroule sous les feux des projecteurs. J’ai bien conscience de cette chance ! J’en profite un peu trop même. Papa et maman ont essayé de tracer ce chemin de gosse de riche pour que je reprenne les rennes de la source de l’or. Gentil garçon, mais pas trop, je l’ai suivi ce chemin. Jusqu’à, je dirai l’adolescence si mes souvenirs sont bons. A ce moment là, il était grand temps que je fasse des erreurs d’adolescent riche vivant à New-York. Après, il serait largement trop tard ! Les fêtes, l’alcool, la drogue, les filles, tout était bon, et tout y est passé ! On m’a toujours tout permis, car l’argent ouvre toutes les portes. Presque toutes les cuisses…  

Sans cet argent d’ailleurs, je n’aurai pas été diplômé. Je ne me souviens plus très bien être allé à l’université. Peu importe puisque j’avais le diplôme, et dans notre monde capitaliste c’est bien tout ce qui compte en dépit de la vraie compétence. Une fois sur le terrain, j’ai du et j’ai fait mes preuves, sans tarder et sans râler. C’était très révélateur ! Je me suis transformé en monstre de la négociation du business international. Comme quoi, être jeune et con ça n’a pas que des défauts. En l’occurrence, le caractère que je m’étais forgé permettait que mes tours de passe passe de cage d’escalier, bluffs, et mes certitudes continuent de faire fleurir l’entreprise de papa. Ma réputation dans le monde industriel s’est vite répandue. On se bat pour réussir à m’atteindre et faire du business avec ma société.

L’entreprise en question a le monopole de fabrication de centrales électriques nucléaires au monde, bienvenu chez Wainwright Industry Co. La concurrence est rude, et il faut être le mâle dominant dans cet univers de requin pour arriver à ces fins. Et ça ? C’est moi. Bien évidemment, nous développons les solutions écologiques, celles qui succéderont au charbon et à l’uranium. Mais Rome ne s’est pas fait en deux jours… Je crois que c’est ‘un jour’ pour l’expression d’ailleurs. Non ?
Nous sommes bien souvent attaqués en justice pour les externalités négatives des centrales et les dégâts humains qu’elles génèrent. Mais qui a la solution miracle ? Personne. Donc malheureusement, je réplique à ces affaires judiciaires. Je ne lâche rien tant que je n’ai pas fini par avoir raison. Pour cela, je suis un très très bon client du cabinet d’avocat Sullivan & Cromwell. Le jour où un jardinier qui m’envoie en justice trouvera la solution miracle pour fabriquer de l’électricité sans que cela nuise à qui que ce soit, surtout qu’il m’appelle : + 1 (222) 549 6575

Bon puisqu’il le faut, on parle de l’aspect sentimental que j’héberge quelque pars. Mais cela fini toujours un matin, où elles se réveillent toutes en me disant « t’as changé, avant tu étais passionné, et maintenant tu t’es lassé c’est invivable ». Ceci dit, certaines sont longues à craquer ! L’argent n’y est pas pour rien… Quand j’aurai trouvé la femme idéale, je penserai au mariage. Enfin plus pour l’aspect financier, juridique et héritage que pour l’aspect sentimental. Il faut bien un héritier dans cette histoire ! Quoique, j’ai un petit rêve… Au fond, si elle pouvait être aussi passionnée que moi pour le business, y’a moyen que je me marie plus vite que prévu.